— Demande de partenariat

bienvenue à la Haneul University. tout le monde se bouscule pour y entrer car tout n'y est que bonne réputation, luxe et opportunités. On est donc loin de s'imaginer qu'il ne s'agit, à la base, que d'une vaste supercherie. En effet, vous apprendrez bien vite que cette université est loin d'être comme les autres et en plus de son histoire incroyable elle garde un fonctionnement pour le moins peu conventionnel. Il n’est rien de dire que tout n’y est pas fait dans les règles habituelles, ce qui est bien évidemment sujet à controverse. On ne sait toujours pas sur quels critères sont admis les étudiants, les différentes fraternités se font la guerre en permanence, de mystérieuses légendes font frissonner le campus et en plus de ça on raconte qu'une étrange secte sévit sur les étudiants. Mais alors, simples racontars ou plus pure vérité ? venez demander au jardinier.

liberté oisive, voilà qu'au milieu de la danse macabre bondit dans le ciel cette colombe -paix imaginaire et abondante, mensonge qui abrite la justice et l'amour. dansent, dansent les paladins (maigres paladins du diable) qui se rient sans vergogne de la faiblesse d'autrui, enfermés et patients. confiance aveugle envers ce gouvernement qui prétend détenir les armes et le chaos. (persuasion enfantine). agonie silencieuse, regarde comme le monde va mal.

je suis celui qui souffre, celui qui est révolté.
celui qui compatis et qui comprend.
celui qui berce et qui châtie.
on ne met pas dit-on, de visage sur le démon ni sur celui qui nous aime.

(tokyo) le loup enchainé s'enfuit dans la pénombre des ruelles et le voilà de nouveau en liberté. impudence mesquine -il est un dieu qui rit de la peur d'autrui. simple mortel qui se laisse bercer par le péché. ailes blanches souillées et meurtries, il se révèle au monde comme étant libérateur (pure folie humaine).

assassin au visage inconnu, la crainte gagne la populace et s'étend dans les cœurs aux pitiés immondes.
ils se voyaient tous protégés. ils se voyaient maîtres (invincibles).
alors il gagne par la terreur. -crainte naturelle qui se transforme en euphorie.
pauvres colombes, qui craignent d'être dévorées. immaculées de cette croix abusée qui est sa marque.
reconnaissance que l'on nomme et que l'on juge avec prétention.
alors il guette. avec attention la complaisance de chacun, attendant patiemment de pouvoir faire chanter l'oisillon.

Tokyo, capitale et plus grande ville du Japon, avec une population qui s'élève à 13 622 267 habitants. Ville touristique de par ses nombreux lieux à visiter tels que les temples et sanctuaires. Les touristes affluent tout au long de l'année. Mais la vie là-bas peut parfois s'avérer cher. A Tokyo, on trouve comme partout ailleurs différentes personnes, de la petite fleuriste au grand PDG. Tokyo possède aussi de nombreuses écoles, de la plus prestigieuse à la petite école pour les familles aux revenus faibles. Parmi ces écoles se trouve l'école Sakura Gakuen, l'une des plus prestigieuses écoles de Tokyo, qui regroupe lycée et université. Toutes les familles rêvent d'y envoyer leur enfant chéri. Le taux de réussite de cette école atteint presque les 100%. Au yeux des familles, cette école est l'une des meilleures. Mais bien qu'à l'extérieur, cette école semble l'école parfaite, l'ambiance à l'intérieur est bien différente.

C'est dans une petite ville côtière, isolée au sud de la Corée, du nom de Mahae, que se trouve l'institut Rinkusu, une université peu connue malgré un taux de réussite plus que suffisant. Un lieu plutôt familial accueillant des élèves motivés et persévérants, pourtant, ne vous y trompez pas. Dans cette petite ville qu'on pourrait croire sans histoires, l'université reçoit une jeunesse très particulière de Mahae et ses alentours. En y regardant de plus près on peut effectivement distinguer des groupes d'élèves en marge qui n'agissaient pas comme la plupart des étudiants, certains sortent la nuit par la porte arrière sans jamais être réprimandés, d'autres ont des cours supplémentaires en dehors de ceux proposés pour tous par l'établissement, d'autres encore disparaissaient sans crier gare pendant plusieurs heures avant de revenir la bouche en coeur comme si de rien n'était.